Avec des prix plus attractifs que ceux du marché immobilier du 37 ou du 45, le Loir-et-Cher a le vent en poupe. Ville, campagne… tout est possible ! Voici les secteurs recherchés, où il fait bon acheter pour s’installer ou investir.
Un peu plus de 45 000 habitants et un statut de chef-lieu de département font de Blois une ville attractive. Son patrimoine historique, sa fréquentation touristique et une démographie qui fait la part belle aux jeunes générations sont la preuve d’un dynamisme qu’on retrouve sur le marché immobilier. Avouons qu’habiter dans un appartement avec vue sur Loire, dans une ville située à 2h de Paris, c’est un luxe dont on rêve tous !
Avec un marché en hausse et une tension non négligeable, la ville de Blois est donc toujours très demandée. Valérie Boudry (Bourse de l’Immobilier) constate que « ce sont les quartiers comme Saint-Nicolas, le quartier administratif de la préfecture, le centre-ville et Blois-Vienne qui restent les plus demandés. Saint-Georges, un peu plus loin, a aussi du succès ».
La première et la deuxième couronne de Blois ont aussi du succès : maisons individuelles, taxe foncière plus intéressante et prix moins élevés qu’en centre-ville dont on reste proche. Ce sont des arguments gagnants pour Saint-Gervais-la-Forêt, la Chaussée-Saint-Victor ou Vineuil par exemple.
Quant à Vendôme, elle profite de la ligne TGV Paris-Vendôme, mais ce n’est pas tout. La sous-préfecture du 41 joue de son charme provincial et fluvial, avec son paysage marqué par les cours d’eau qui la traversent. La clientèle parisienne ne s’y trompe pas, et les Vendômois non plus.
Les acheteurs locaux s’intéressent au centre-ville très prisé de Vendôme. Pour faire construire, certains se tournent vers la 1e couronne, tandis que le secteur autour de la gare TGV Vendôme-Villiers séduit les travailleurs amenés à aller à Paris, ou les acheteurs de résidences secondaires.
Douglas Hanna, à Vendôme (Stéphane Plaza Immobilier), constate également que « les axes Blois-Vendôme, Vendôme-Tours sont plébiscités. Tout en offrant des prix attractifs, ces secteurs permettent aux jeunes couples et familles de trouver l’équilibre entre proximité des centres urbains et vie calme à la campagne, comme à Saint-Amand-Longpré par exemple ». L’axe Vendôme-Montoire est moins prisé, mais attire néanmoins les personnes souhaitant allier secteur rural, proximité de Vendôme et prix modéré. C’est le cas par exemple à Thoré-la-Rochette qui séduit les acquéreurs voulant acheter en Loir-et-Cher.
Avec des prix qui restent attractifs, Romorantin-Lanthenay séduit les primo-accédants. Ceux-ci sont très présents sur le marché local, et peuvent y prétendre à des pavillons individuels de 3 à 4 chambres. Si vous cherchez un premier achat dans une ville moyenne, avec un budget d’environ 1000 € le m2, « Romo » est faite pour vous.
Au cœur de la Sologne, Salbris et Lamotte-Beuvron ont également le charme des petites villes à deux pas des grandes étendues boisées solognotes. Avec des prix cependant plus élevés pour Lamotte (1300€ /m2 en moyenne).
A Montrichard, entre donjon médiéval et plage au bord du Cher, les acheteurs cherchent la tranquillité… et la proximité de Tours, devenue trop chère. Que l’on cherche une maison à restaurer à partir de 100 000 € de budget, ou un investissement locatif, la petite ville du Val de Cher a du potentiel ! Locatif et résidentiel sont aussi à l’ordre du jour du côté de Saint-Aignan. Le premier grâce à l’attractivité touristique du Zoo-Parc de Beauval. Et le second grâce à des prix défiant toute concurrence. Primo-accédants et retraités sautent sur des occasions à moins de 100 000 €, tandis que des plus gros budgets optent pour de belles longères qui feront office de résidences secondaires (200 à 400 000 € en général).
A vous d’accorder vos envies au potentiel qu’offre le département, pour venir acheter en Loir-et-Cher !
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