Poitiers et son agglomération concentrent l’essentiel de l’offre du département. C’est là que se concentrent trois offres sur quatre. Er, bien sûr, c’est sur la commune de Poitiers en elle-même que le marché est le plus dynamique. Naturellement, il convient de préciser que, comme c’est toujours le cas dans les villes où la population étudiante est très importante, le marché de la location est assez tendu sur ce secteur. C’est encore plus vrai quand arrivent les beaux jours. C’est à ce moment que les étudiants cherchent à se loger en vue de la rentrée prochaine.
En proportion, on trouve beaucoup de à la location sur le marché poitevin. Ils représentent plus de quatre offres sur dix. Mais ils partent très rapidement. Pour ce qui est des prix, le ticket d’entrée se situe aux alentours de 300 à 350 € mensuels. Le tarif peut facilement monter, atteindre ou dépasser les 400 € pour un studio offrant un peu plus de superficie (au-delà de 25 m2 et/ou une situation particulièrement favorable.
L’autre segment important du marché, ce sont les T2 et les T3 qui représentent également quatre offres sur dix, environ. Là encore, c’est l’agglomération poitevine qui concentre l’essentiel de l’offre. Même si on trouve aussi ces surfaces sur Châtellerault et Chauvigny. A Châtellerault, les prix à mètre carré tournent souvent autour de 9 € mensuels, ce qui met le T3 de 75 m2 à 675 €/mois environ. Nous serons sur les mêmes bases à Chauvigny par exemple.
Dans le département de la Vienne comme un peu partout en France, ce sont les plus grandes surfaces qui manquent le plus. Les T4, T5 et plus ne concernent pas plus de 20 % de l’offre. On les trouve presque exclusivement dans l’agglomération poitevine. Pour ce qui est des tarifs, avec un prix moyen au mètre carré qui oscille entre 11 et 15 € / m2 mensuels sur le secteur, les loyers démarrent aux alentours de 400 €/mois. Naturellement, la présence d’un extérieur, balcon, terrasse ou jardin, est un bonus tout à fait majeur dans la valeur de ce type de biens. Ainsi, bien sûr, que sa localisation. Pour ces surfaces, les locataires sont des familles. La proximité des commerces et des écoles est donc déterminante.
Pour ce qui est des performances énergétiques des logements, à peine plus de 5 % sont concernés par un classement F et G et devront donc subir des travaux dans les années à venir.
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